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Plantes invasives : un fléau pour la biodiversité !
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Plantes invasives : un fléau pour la biodiversité !
Ces plantes, qualifiées d’invasives, ont été très souvent volontairement importées par des voyageurs et plantées dans des jardins où elles se sont acclimatées, devenant rapidement envahissantes.
Mais toutes ne sont pas qualifiées d’invasives !
Une plante devient invasive dès lors qu’elle pose des problèmes écologiques car elle prend la place d’essences locales. Ces dernières peuvent alors progressivement disparaître.
Les éradiquer est difficile et entraîne des coûts importants.
La propagation de ces plantes se fait par graines, boutures de rhizomes, éclatement de touffes...
Les graines de ces plantes sont transportées par le vent ou les animaux.
L’homme est aussi responsable de leur propagation lorsqu’il entreprend, par exemple, des travaux de terrassement, de fauche.
Ces actions sont des vecteurs d’introduction dans les points les plus reculés de notre environnement.
Plantes invasives les plus fréquentes
Certaines de ces plantes sont hélas toujours disponibles à la vente comme le Baccharis qui a envahi les zones humides grâce à un pouvoir germinatif impressionnant.
Le fameux gynerium (herbe de la pampa), à la mode dans les jardins des années 1970, s’installe aujourd’hui à grande échelle sur les friches et les remblais au détriment des espèces pionnières de notre région.
La redoutable renouée du Japon, introduite pour ses qualités fourragères ou simplement décoratives, résiste à tous les désherbants. Elle s’installe et se propage aujourd’hui le long des routes et des rivières. On la retrouve un peu partout sur la commune.
La jussie, introduite dans les plans d’eau pour ses belles fleurs jaunes, modifie les biotopes, posant de ce fait de graves problèmes d’envasement et de circulation des bateaux dans les canaux.
Enfin, le très commun laurier palme devient très facilement envahissant dès qu’il n’est plus taillé. Sa prolifération se fait par les graines véhiculées par les oiseaux qui la consomment. Le feuillage épais de cet arbuste stérilise les sous-bois en empêchant la lumière de pénétrer.
Quelques gestes pour limiter les propagations :
ne surtout pas reproduire ces plantes, ni les déplacer en déchetterie ou sur un terrain vague,
les arracher et les brûler sur place.
suite
Mais toutes ne sont pas qualifiées d’invasives !
Une plante devient invasive dès lors qu’elle pose des problèmes écologiques car elle prend la place d’essences locales. Ces dernières peuvent alors progressivement disparaître.
Les éradiquer est difficile et entraîne des coûts importants.
La propagation de ces plantes se fait par graines, boutures de rhizomes, éclatement de touffes...
Les graines de ces plantes sont transportées par le vent ou les animaux.
L’homme est aussi responsable de leur propagation lorsqu’il entreprend, par exemple, des travaux de terrassement, de fauche.
Ces actions sont des vecteurs d’introduction dans les points les plus reculés de notre environnement.
Plantes invasives les plus fréquentes
Certaines de ces plantes sont hélas toujours disponibles à la vente comme le Baccharis qui a envahi les zones humides grâce à un pouvoir germinatif impressionnant.
Le fameux gynerium (herbe de la pampa), à la mode dans les jardins des années 1970, s’installe aujourd’hui à grande échelle sur les friches et les remblais au détriment des espèces pionnières de notre région.
La redoutable renouée du Japon, introduite pour ses qualités fourragères ou simplement décoratives, résiste à tous les désherbants. Elle s’installe et se propage aujourd’hui le long des routes et des rivières. On la retrouve un peu partout sur la commune.
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Quelques gestes pour limiter les propagations :
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les arracher et les brûler sur place.
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